Autrefois grandiose et populaire, depuis la Grande Guerre le théâtre n'a été plus que le lieu de nombreux drame et exécution de traîtres. Suite à de nombreuses révoltes, la Milice a décidé d'abandonné le théâtre.
Autrefois le centre de Prosopée ainsi que son centre économique, le centre-ville est désormais une large ruelle parsemées de boutique saccagées et abandonnées à leur triste sort. La nature commence de plus en plus à y être maîtresse.
Perdue au centre d'une forêt, autrefois un parc florissant, se cache une statue amputée de sa tête et de son bras droit. Celle-ci devait ressembler à un grand prosopéen connu de tous autrefois mais sans ses bois et ses couleurs il laisse porter à confusion et semble autant être un prosopéen qu'un syllabien.
Néanmoins avant sa mort, le Général Ötha a dit que la statue représentait en réalité un célèbre homme connu pour avoir trahi l'armée prosopéenne lors de la Grande Guerre, depuis lors de nombreux pacifistes prosopéens vont prier à la statue persuadé qu'il aurait trahi Prosopée dans un but pacifiste. Chaque prière à la statue surprise par un millicien est passible d'une exécution.
Autrefois un grand hôpital, aujourd'hui il ne semble n'être qu'un bâtiment abandonné dans un village saccagé. Malgré tout, caché pour les murs s'écroulant, une infirmerie clandestine ayant pour but de soigner les rebelles comme les pacifistes de la Milice s'est instaurée dans ce lieu. Il semblerait qu'un riche prosopéen soutienne secrètement le village sombre de Prosopée.