tu brilleras par ta force physique ; ton allure dominante ; ta posture de caïd et ton sexe triomphant pour mépriser les faibles.
une bouteille à la main ; le regard aussi sombre qu'un loup et la seule lumière qui l'éclaire est celle d'un lampadaire amoché. puis leo allongé par terre avec une flemme forcée de rentrer. ça boit de façon grossière et laisse des gouttes s'échapper de ta bouche ; la soif d'aventure et la soif de sexe aussi. plus personne ne l'appelle, il est seul avec lui même.
La curiosité prend le nez et les tripes, alors le cœur accroché, il avançait, dé-menotté. Il y avait, ce grand espace, un endroit démesuré ou la lumière n'éclairait plus les allées. Le jeune homme au cœur vaillant, bravant les accidents continuait de marcher. Il n'y avait ni lumière, ni ombre de vie, juste lui, et aucun signe d'humanité.
Enfin si, il y avait ce jeune homme là, et cette bouteille. Il avait le regard dénué de sentiment, tellement livide... Famine avait bon cœur, alors les yeux ronds, le cœur bon, il se dirigea vers lui, sans mettre de brides. Ce garçon blond, il n'avait l'air de connaître les merveilles, Tout celle qui pouvait émerveiller le vagabond.
Celui-se pencha vers celui qui était étalé au sol. Il adopta un sourire, celui qui n'est pas du plus naturel, Après tout, Famine avait déjà touché à l'alcool. Il aimait les beuveries, mais il n'était pas celui qui s'en prenait des plus belles. L'alcool ne lui faisait pas forcément grand effet, Lui, ce qu'il préférait c'était les conneries de jeunes qu'il enchaînait. Sur un monotone, comme pour ne pas déranger ce moment de presque intimité, Il lâcha un : "Est ce que ça va ? Tu devrais faire attention, ne pas traîné. Il fait si noir, et tu m'as l'air d'y avoir bien touché." D'un mouvement de tête, c'est le contenant qu'il souligna, Puis de sa grande taille, son corps se redressa, Observant le presque cadavre demeurant tout en bas.
tu brilleras par ta force physique ; ton allure dominante ; ta posture de caïd et ton sexe triomphant pour mépriser les faibles.
les yeux piquent. la faible lumière qui éclaire la ruelle ; les rats, la saleté, faut pas dire que t'y es habitué. t'as presque honte de ta vie, presque. tu pues le désespoir, la faiblesse ; tu pues le cul. une poussière s'invite sous ta paupière déformée par la fatigue. ils sont à moitié clos, comme saoulés de vodka. tu ne sens plus tes membres, inactifs depuis des heures. il n'y a personne ici. personne pour t'aider, personne pour te remarquer. invisible. le temps fait des siennes, alors il pleure. pleure tellement qu'il te mouille de la tête au pied. cette pluie là est glaciale. tu ne l'oublieras jamais. elle te frappe au visage et toi dans l'incapacité de te lever pour t'abriter. les yeux se ferment, après tout il n'y avait plus rien à faire. il fallait s'évader dans le rêve.
est ce — va ? faire attention — traîné. noir — bien touché.
dans l'incompréhension ; entre le rêve et la réalité. tu ouvres doucement les yeux, il était là. cet homme à la posture de caïd. il te regarde de haut. t'avais pas bien compris ce qu'il t'avait dit, et tu n'avais pas envie de comprendre. tu essayes de te redresser mais en vain. t'as juste l'air d'une victime et t'aimes pas ça.
tu oses me tu tousses brusquement me me comment tu t'appelles ?
l'effet de l'alcool.
hrp omg:
t'as osé screen ma fourberie :c je suis piégé à jamais là mdr mais je promet devant mon doudou requin que j'répond vite maintenant famine t'es seskuel en plus
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