Bâtiment encastrer dans une pierre d'un noir de jais, le bar cacophonique est une petite salle où de nombreux musiciens viennent jouer d'un instrument face à un public alcoolisé et excité. Il n'est pas rare que de nombreux drame y est lieux.
Ce bar est aussi un lieu de rencontre pour de nombreux rêveurs.
C'est un lieu étrange mais attirant, dans cette pièce il n'y a aucuns sons. Il est obligatoire d'enlever ses chaussures et de se taire au péril d'y être virer. C'est un lieu gratuit et facile d'accès, ses murs sont peints en blanc et seul des marches d'escaliers aussi blancs que les murs meublent la pièce. Aucuns signes de caractères, un simple blanc si pur qu'il est presque interdit à Prosopée. A l'entrée, une pancarte est dit que malgré la sévérité de Prosopée, il n'est pas interdit de rêver. Face au culot de son architecte, la plupart des casseurs ont laissés le lieu en paix.
Aussi appelée l'Espoir par la haine, cette rue est le lieu culte des rebelles de Prosopée. Ici a lieu des rencontres secrètes entre différents gang de rebelles, parfois pacifiste, parfois violent. Les logements vendus dans cet endroit y sont notamment utilisés en tant que lieu de rendez-vous pour un gang et ainsi il n'est pas rare d'avoir de gang voisins de pallier. Une seule règle y est importantes: le respect de chacun. Afin d'éviter de s'entre-tuer et se faire remarquer par la Milice, tous ont décidé de faire une trêve provisoire une fois dans la rue. Néanmoins, elle n'est pas inconnue de la Milice et il arrivent qu'ils y vont souvent y faire un tour mais manque de preuve, il n'y a jamais eu de descente par ici.
Des appartements pauvre et usés, délaissés par leur propriétaire mort ou surchargés, ce sont les lieux de vie de personnes pauvres et abandonnées. Ils ont souvent souffert par la dictature de la Milice.
Le peuple habitant au quartier sombre sont bien souvent des personnes pacifistes souhaitant que la pression vis-à-vis de la haine syllabienne cesse ou alors des rebelles souhaitant se venger des syllabiens et de la Milice.